Ryô Kihara est condamné à mort. Amnésique lors de son procès, il a tout de même reconnu sa culpabilité. Comme le veut la loi japonaise, il ne connaît pas la date de son exécution. A la suite de l'exécution de son voisin de cellule, dont il a entendu les cris, il recouvre partiellement la mémoire par flashes et se revoit gravir un escalier. Il demande alors la révision de son procès.